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2024, une année en montagnes russes

L’année va s’achever dans quelques semaines.

Ce fut une drôle d’année pour nous. Commencée sur les chapeaux de roue, l’activité issue de nos clients grands comptes a commencé à tourner au ralenti en avril.

Est-ce en raison de la guerre en Ukraine ?  La météo ? La dissolution ? les JO ? Nous en avons longuement discuté entre entrepreneurs de la com’ éplorés.

La montée en puissance des outils de l’IA et l’annonce de plans de restructuration complétaient le tableau des menaces pour Histoires de Vies.

Bref, l’incertitude était de retour.

Un regain d’activité à la rentrée

Puis le mois de septembre est arrivé et avec lui son lot de séminaires, conventions et besoins de mettre en lumière des projets avec toutefois l’accentuation d’un phénomène déjà existant : la prise de décision au dernier moment, montrant ainsi que nos donneurs d’ordre n’ont pas plus de visibilité que nous sur les mois à venir et du temps pour faire eux-mêmes les vidéos.

Notre agilité et réactivité légendaires nous ont permis à chaque fois de livrer en temps et en heure sans rien renier à la qualité du contenu et à la créativité de la forme. Nous étions si contents de retrouver nos clients motivés et avec des projets !

Quand l’incertitude nourrit le besoin de reconnaissance

Sur le terrain des tournages, nous avons commencé à observer un autre phénomène : le besoin de reconnaissance. Dans cet environnement incertain, nous sentons monter le désir de partager les succès, les avancées, la concrétisation des projets. Cela se ressent dans l’adhésion quasi immédiate des collaborateurs à être interviewés et à être performants face caméra. Quand auparavant, on réfléchissait à 2 fois comment on va s’y prendre avec un tel ou un tel, un peu timide, un peu rétif aux spotlights, désormais les collaborateurs sont motivés à réussir leur séquence de tournage.

Des vidéos de moins en moins corporate

Cela se ressent aussi dans l’esprit des vidéos que nos clients souhaitent :

  • pas trop de tralala
  • soyons au plus près du réel
  • ne trahissons pas les personnalités des interviewés
  • proposons des mises en scène audacieuses
  • si possible soyons fun !

Comme si en réalisant des interviews ou des reportages qui ont du caractère, on défiait le climat anxiogène qui pèse en ce moment sur la vie de nos entreprises.

2025 : partager la fierté des collaborateurs

J’enfonce une porte ouverte : le pouvoir de la vidéo ne va que croître dans les prochaines années. Mais le plus important à noter, c’est l’importance de mettre véritablement cet outil à la disposition des collaborateurs qui veulent témoigner de la fierté du travail accompli .

En 2025, c’est ce qui va nous guider chez Histoires de Vies et on s’en réjouit d’avance.

Fabienne Dupont

Crédit photo : Freepik